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Photographie | Monuments historiques | Phares -- France | Phares | Géographie | Bordeaux (Gironde) | Signaux et signalisation | Phare du XXe siècle | Moulins à eau | Monuments aux morts | Garluche | Manche (mer) | Sébastien Le Prestre Vauban (marquis de, 1633-1707) | Îles | Monuments inscrits | Moulins à eau -- France | Eysines (Gironde) | Phare de Ailly | Monument historique de la Seine-Maritime | Phare de la Seine-Maritime | ...
Eysines, Château Lescombes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5630768b-eysines-chateau-lescombes

Eysines, Château Lescombes

Eysines, Château Lescombes en 2015. Inscrit MH : Mérimée-PA00083908.

Eysines, Château Lescombes vu depuis le parc. Source : http://data.abuledu.org/URI/563076bf-eysines-chateau-lescombes-vu-depuis-le-parc

Eysines, Château Lescombes vu depuis le parc

Eysines, Château Lescombes vu depuis le parc.

Archipel des Hébihens en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358d31c-archipel-des-hebihens

Archipel des Hébihens en Bretagne

L'archipel des Hébihens (ou Ébihens) vu depuis la pointe du Chevet à mi-marée, commune de Saint-Jacut-de-la-Mer (Côtes-d'Armor). C'est un petit archipel français, prolongeant la presqu'île de Saint-Jacut-de-la-Mer. Le rocher principal, d'une superficie de 20 hectares, est une des quelques îles privées de Bretagne, occupée principalement en été. La légende veut que son isolement date du raz-de-marée qui aurait détruit la forêt de Scissy, forêt mythique située dans la baie du mont Saint-Michel, en 709 et que les plages qui l'entourent étaient alors recouvertes d'arbres et d'herbus. Pour les historiens et les scientifiques, la montée des eaux date, non pas de 709, mais de plus de 10 000 ans, à la fin de la dernière glaciation. Des fouilles entreprises ont mis au jour des vestiges attestant d'une occupation gallo-romaine de l'archipel dès avant notre ère. Un petit village coriosolite y fut érigé. Coriosolite signifiant "de Corseul" ; alors la capitale gauloise locale. Vauban ordonna l'édification d'une tour sur l'îlot principal qui fut construite de 1694 à 1696 par le comte Louis de Pontbriand qui était capitaine garde-côte du littoral de Saint-Malo et propriétaire de l'îlot. Cette tour fut notamment financée par un impôt perçu sur les prises de maquereaux réalisées lors de certains jours de fêtes chômés. Elle est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du 15 juillet 2010. Lors de la dispersion des biens du clergé, les Ébihens furent vendus à Jean-Georges Michel, l'un des capitaines de course de Robert Surcouf, pour une somme dérisoire. Aujourd'hui, cette propriété privée est partagée entre cinq propriétaires, majoritairement descendants directement ou non de Jean-Georges Michel. Ils veillent avec patience et énergie à ce que ce site naturellement protégé par son insularité, perdure pour les générations futures. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Archipel_des_%C3%89bihens

Dépôt ferroviaire de Mohon la rotonde. Source : http://data.abuledu.org/URI/56be7d7c-depot-ferroviaire-de-mohon-la-rotonde

Dépôt ferroviaire de Mohon la rotonde

Dépôt ferroviaire de Mohon la rotonde, Charleville-Mézières. inscrit|PA00078462.

Distillation de la résine à Luxey. Source : http://data.abuledu.org/URI/51330234-distillation-de-la-resine-a-luxey

Distillation de la résine à Luxey

Atelier des produits résineux de Jacques et Louis Vidal à Luxey (Landes) : écomusée de la gemme, inscrit aux monuments historiques par arrêté du 19 février 1990. La térébenthine de Bordeaux, aussi appelée « poix de Bordeaux », « galipot » ou « térébenthine officinale », est la résine extraite du pin maritime (Pinus pinaster), donnant après purification et distillation l'essence de térébenthine ainsi que la colophane (résidu de la distillation).

Eglise Saint-Roch et Monument aux morts. Source : http://data.abuledu.org/URI/5441ae9b-eglise-saint-roch-et-monument-aux-morts

Eglise Saint-Roch et Monument aux morts

Église Saint-Roch de Saint-Sulpice-et-Cameyrac du XIIe siècle, inscrite au titre des monuments historiques en 1925, et Monument aux morts de Edmond Chrètien (1883-1945).

Feu de Saint-Pol à Dunkerque. Source : http://data.abuledu.org/URI/53591177-feu-de-saint-pol

Feu de Saint-Pol à Dunkerque

Le feu de Saint-Pol est un phare situé en bout de la jetée ouest du port de Dunkerque, inscrit aux monuments historiques. Propriété de l'État, bien qu'il soit envisagé de le céder aux collectivités locales, paradoxalement il doit son nom à Saint-Pol-sur-Mer, bien qu'il se trouve à Dunkerque. Construit en 1937-1938 (mais restauré à l'identique en 1954), allumé en 1939, il est la dernière œuvre de l'architecte Gustave Umbdenstock. C'est aussi le seul phare Art déco de l’Hexagone. Le feu de Saint-Pol est dénommé "feu" faute de satisfaire à au moins deux des critères de la définition du phare au sens strict qu'en donne l'administration française. Hauteur : 35 m - Elévation : 35 m - Portée : 15/18 milles. Feux : Feux à deux éclats verts toutes les six secondes. Lanterne : alimentée par panneaux solaires. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Feu_de_Saint-Pol_%28Dunkerque%29

Fort du Hâ à Bordeaux. Source : http://data.abuledu.org/URI/5547b55f-fort-du-ha-a-bordeaux

Fort du Hâ à Bordeaux

Le Fort du Hâ à Bordeaux. Il a été construit par décision du roi Charles VII, immédiatement après la reprise définitive de Bordeaux aux Anglais en 1453. Ses deux tours, la Tour dite des Anglais et la Tour des Minimes, sont inscrites au titre des monuments historiques le 12 avril 1965. Jean des Vignes est considéré par beaucoup comme l'architecte du château du Hâ. Toutefois, en se fondant sur des similitudes dans les caractéristiques architecturales, le nom de Mathieu de Fortune, constructeur du château Neuf de Bayonne, a pu être avancé, Jean des Vignes n'aurait été alors que le maître d'œuvre.

Haïku de Matsuo Basho. Source : http://data.abuledu.org/URI/58792c55-haiku-de-matsuo-basho

Haïku de Matsuo Basho

Piliers en pierre portant un haïku inscrit de Matsuo Basho à Sekigawa Jinja (関川神社), Sekigawa, Akasaka-cho, Toyokawa, Aichi, Japon.

Ile Harbour en Bretagne. Source : http://data.abuledu.org/URI/5358d0f2-ile-harbour-

Ile Harbour en Bretagne

L'île Harbour est un îlot rocheux fortifié, situé sur le territoire de la commune de Dinard, parfois accessible à marée basse, à 3 km en face de Saint-Malo. La légende prétend qu'avant le raz-de-marée de l'an 709, l'île hébergeait le port primitif d'Aleth. Le fort a été construit au cours des XVIIe et XVIIIe siècles à l'initiative des ingénieurs militaires Sébastien Le Prestre de Vauban et Siméon Garangeau. Il protège deux des passes d'accès de Saint-Malo et participe au système de défense du port de Saint-Malo qui comporte aussi les forts de La Conchée, du Petit Bé et le Fort National. Le fort a perdu toute vocation militaire et appartient désormais à des personnes privées. L'île est un site inscrit depuis le 27 septembre 1934 et le fort est un monument historique classé depuis le 4 juin 1952. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%8Ele_Harbour

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot. Source : http://data.abuledu.org/URI/543f2733-monument-aux-morts-de-la-station-richelieu-drouot

Monument aux morts de la station Richelieu-Drouot

Monument aux morts à la station Richelieu - Drouot du métro de Paris, par Carlo Sarrabezolles (1888-1971). Dans la salle de correspondances se trouve le monument aux morts de la CMP, dû au ciseau de Carlo Sarrabezolles, inauguré en 1931. Le monument aux morts des agents du métropolitain. Ce monument en marbre noir est dédié à la mémoire des agents du chemin de fer métropolitain morts pour la France. La sculpture centrale est ornée d'une cariatide, qui soutient de ses bras levés la torsade de pierre qui l'entoure. Elle sépare en deux parties le demi-cercle à l'intérieur duquel sont inscrits les noms des agents du métropolitain disparus durant la Première Guerre mondiale. La base du monument porte les noms des champs de bataille de la Grande Guerre. Le mot « Libération » a été ajouté en bas à droite après la Seconde Guerre mondiale, afin de marquer la participation des agents du réseau à la Résistance. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Richelieu_-_Drouot_%28m%C3%A9tro_de_Paris%29

Moulin de Bagas-33. Source : http://data.abuledu.org/URI/508d5f1d-moulin-de-bagas-33

Moulin de Bagas-33

Dessin du Moulin hydraulique de Bagas (Gironde), 1859 par Léo Drouyn (1816-1896) : Le moulin a été construit sur un îlot au milieu du Dropt et son pavillon d'entrée se trouve en rive gauche. Ayant appartenu au XVe siècle à une confrérie religieuse de La Réole, le bâtiment est aujourd'hui désaffecté et la propriété d'une personne privée. Il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 7 janvier 19261.

Musée des Forges dans les Landes. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074b38a-musee-des-forges-dans-les-landes

Musée des Forges dans les Landes

L'Estrigon à Brocas, dans le département français des Landes : ancien moulin à eau accueillant le musée des Forges. Les anciennes forges témoignent d'une importante activité métallurgique au cours des XIXe et début du XXe siècle sur la commune. L'ensemble composé du haut fourneau, moulin à farine, atelier, grange, barrage, bief et installation hydraulique est inscrit aux monuments historiques par arrêté du 18 septembre 2006.

Phare d'Ailly en Haute-Normandie. Source : http://data.abuledu.org/URI/535e1ec1-phare-de-ailly

Phare d'Ailly en Haute-Normandie

Le phare moderne d'Ailly a été construit sur la pointe d'Ailly, au sud-ouest de Dieppe, sur une falaise soumise à érosion. Les travaux débutent en 1951. On place cinquante deux pieux de huit mètres en béton dont la tête est coulée sous un radier de 1,60 mètre d'épaisseur. Ils sont destinés à recevoir les 1 000 tonnes du phare. La tour carrée en pierres de Mignac est revêtue, à l'intérieur, d'un parement de béton de porphyre rouge bouchardé. Le porche de la tour est en granit. L'ensemble est sobre et ses lignes pures. La lanterne à coupole est peinte en vert. Elle s'élève à 16,53 mètres du sol et à 94,58 mètres de la mer. Le vieux phare de 1775 reste en service jusqu'au 22 avril 1958, date à laquelle le phare actuel est allumé. Depuis 2001, le phare est équipé de capteurs atmosphériques destinés à mesurer la qualité de l'air. Il faut gravir 91 marches pour admirer un panorama exceptionnel : depuis les falaises de Saint-Valery-en-Caux jusqu’à la baie de Somme. Depuis le 24 novembre 2010 le phare est en totalité inscrit monument historique, à savoir : la tour, le bâtiment technique, la maison du gardien, le portail d’entrée ainsi que le tronc de la Société nationale de sauvetage en mer. Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_d%27Ailly

Phare de Granville dans les îles Chausey. Source : http://data.abuledu.org/URI/537f53a1-phare-de-granville-

Phare de Granville dans les îles Chausey

Le phare de Granville appelé aussi phare du Cap Lihou se situe sur la pointe du Roc, au cap Lihou dans le département de la Manche, sur la commune de Granville en Basse-Normandie. Le 9 octobre 1825, l'ingénieur Augustin Fresnel (1788-1827) vient valider la construction d'un bâtiment à Granville. C'est lui aussi qui dessine les plans de la tour. Il est un des phares les plus anciens du premier plan de Rossel. C'est une tour grise en granit de Chausey et son sommet est peint en rouge. Il a subi très peu de modifications depuis sa construction. À part l'optique, les équipements intérieurs sont d'origine. À l'intérieur du phare on trouve différentes salles, dont une chambre à coucher avec le lit et les placards en chêne, des cheminées, de la marqueterie(décoration avec lions et feuilles). La coupole est en cuivre à boule et la girouette date de 1882. La salle de repos est en bon état général. En service depuis le 1er novembre 1828, le phare mesure 16 mètres et domine la mer à 52 mètres. Le foyer se trouve à 49 mètres. Le phare est électrifié en 1924. Son automatisme est télécommandé depuis le phare de Chausey. Le phare est inscrit monument historique depuis 2009. Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Phare_de_Granville

Plaque jacquaire en Aveyron. Source : http://data.abuledu.org/URI/506b4ffc-plaque-jacquaire-en-aveyron

Plaque jacquaire en Aveyron

Plaque jacquaire au Pont d'Estaing en Aveyron : "Au titre de la convention internationale pour la protection du patrimoine culturel et naturel LES CHEMINS DE SAINT-JACQUES DE COMPOSTELLE en FRANCE, ont été inscrits par l'UNESCO sur la liste du Patrimoine Mondial afin qu'ils soient protégés au bénéfice de toute l'humanité. LE PONT D'ESTAING SUR LE LOT et les autres monuments notables inscrits à ce titre étaient des jalons sur les routes qu'empruntèrent au moyen-âge d'innombrables pélerins. MCMXCVIII -1998."

Porte des anglais à Sore. Source : http://data.abuledu.org/URI/5074afc6-porte-des-anglais-a-sore

Porte des anglais à Sore

Porte de ville dite des anglais à Sore, dans le département français des Landes : remplissages en garluche. Datée de la 2e moitié du XIIIe siècle, elle est inscrite aux monuments historiques par arrêté du 7 octobre 1992. Il existait deux autres portes de ce type à Sore qui ont aujourd'hui disparu, l'une à l'est du plateau, l'autre en face de l'hospice. Celle-ci est en face du moulin à eau. Sur sa clef de voûte est sculpté un chrisme. Notice de la base Mérimée : "Témoin de la ville médiévale qui fut une des forteresses des Seigneurs d'Albret. Vers 1270-1280, Amanieu VII d'Albret semble avoir entrepris une vaste campagne de rénovation de plusieurs forteresses, dont celle de Sore. Cette porte est le dernier vestige encore debout de ces fortifications. L'ouvrage possédait peut-être des éléments défensifs couronnant son sommet. Du côté sud vers le nord, en pénétrant dans la ville, la porte présente un grand arc en anse de panier puis un arc brisé surbaissé, plus étroit et plus bas, en avant duquel subsiste l'emplacement de la herse qui renforçait l'entrée. Sur le côté nord se remarquent les traces d'une tourelle qui renfermait un escalier à vis. Sur le côté sud, deux trous d'assommoir sont percés dans la voûte de l'arc, en avant de la herse. L'enceinte elle-même était en terre, faute de pierres à proximité."

Sémaphore de Gatteville. Source : http://data.abuledu.org/URI/51b88901-semaphore-de-gatteville

Sémaphore de Gatteville

Les courants forts au large de la pointe de Barfleur, et les nombreux naufrages rendent indispensable l'édification d'un phare. En 1774, sous le règne de Louis XVI, la Chambre de commerce de Rouen décide de faire construire un premier phare en granite, de 25 mètres. À son sommet, un feu de bois et de charbon brûlait continuellement. Le charbon était approvisionné à dos d'homme et laissait peu de repos aux gardiens. En 1780 le feu à charbon fut remplacé par un système de réverbères constitué de 16 lampes à huile dans une lanterne vitrée. Ce phare étant trop petit pour recevoir les lentilles modernes, et trop faible pour pouvoir être exhaussé de 32 mètres, on décide d'ériger une nouvelle tour en 1825. L'ancien phare devient sémaphore. Celui-ci est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 11 mai 2009.

Topiaires du château de la Bourlie en Dordogne. Source : http://data.abuledu.org/URI/510d81bf-topiaires-du-chateau-de-la-bourlie-en-dordogne

Topiaires du château de la Bourlie en Dordogne

Topiaires dans le parc du château de la Bourlie, Urval (Dordogne). Le château et son domaine (ses communs, ses dépendances, son parc et ses jardins) sont inscrits en totalité au titre des monuments historiques le 12 septembre 2005.

Tour Santa Maria, au loin l'Ile de Capraia. Source : http://data.abuledu.org/URI/51d1bdb9-tour-santa-maria-au-loin-l-ile-de-capraia

Tour Santa Maria, au loin l'Ile de Capraia

Vue sur la Tour Santa Maria, au loin l'Ile de Capraia, depuis le Sentier des Douaniers. La tour della Chiappella est située au Nord-ouest de la rade de Santa Maria ; elle date des années 1548-1549. Cette tour a été remaniée plusieurs fois. En 1796 elle avait subi les assauts d'une escadre de la flotte anglaise commandée par le contre-amiral Nelson. Gravement endommagée par le bombardement anglais, elle présente une coupe de ses 3 étages voûtés. Une échelle mobile permettait de monter d'un étage à l'autre. Voûtes et arcature des machicoulis sont en calcaire de Tamarone, roche du quaternaire facile à travailler. Les ruines de la tour sont inscrites au titre des Monuments historiques inscription par arrêté du 8 mars 1991.